COMMUNICATION RELATION | Les 4 accords Toltèques en pratique

Les 4 accords toltèques, passés avec nous-même, sont des règles de vie claires et concrètes qui nous aident à nous libérer de toutes nos mauvaises habitudes comportementales. Je vous présente ma vision de ces accords et je fini par vous donner un exemple concret d’application par rapport à une situation délicate que j’ai vécu.


PAROLE IMPECCABLE

Le premier accord est : « Que votre parole soit impeccable ». On sait tous que nos mots peuvent avoir un impact très puissant de manière positive ou négative, sur les autres et nous-même. Nous avons donc la responsabilité d’y faire attention et de rester intègre.

Nous devons dire uniquement ce que nous pensons en prenant le temps d’y réfléchir. Vous identifierez facilement si c’est quelque chose d’utile et bienveillant ou si vous cherchez consciemment ou non, à nuire à quelqu’un, à manipuler ou à médire. J’ai moi-même eu des propos très maladroit avec ma partenaire, au début de notre relation, et 10 ans plus tard j’en mesure encore les conséquences.

Dans notre culture, on utilise largement notre parole de manière négative. On catégorise tout de manière bien ou mal, la pluie devient « le mauvais temps », on se compare, on se juge et on se critique entre nous. Ces attitudes et nos paroles sont autant nocif pour nous que pour les autres. Je vous assure que dire du mal d’un ou d’une collègue de boulot même si vous pensez que c’est justifié, n’apportera rien de positif à personne.

Faites l’essai rien qu’une journée, d’avoir conscience de ce que vous allez dire et de filtrer tout ce qui est inutile ou négatif. Ça ne veut pas dire que vous allez devenir hypocrite et faire semblant d’être gentil avec tout le monde mais vous allez garder ces pensées pour vous car elles ne deviennent réelles que quand vous les formuler à haute voix. Pour l’avoir expérimenté, ça m’a permis d’améliorer mes relations et de conserver un état paisible car je n’accordais plus d’importance à des choses qui pouvaient m’empoisonner l’esprit.

NE RIEN PRENDRE PERSONNELLEMENT

Le second accord est : « Quoi qu’il arrive, n’en faites pas une affaire personnelle ». Je sais que ce n’est pas évident mais vous n’êtes pas responsable de ce que les autres disent et font, même si vous êtes visés. Chacun à sa perception et sa réalité qui reste subjective.

Ne vous considérez pas comme victime des paroles des autres. Vous êtes l’unique responsable de la manière dont vous aller y réagir. C’est un exercice difficile, surtout si vous manquez d’estime et de confiance en vous mais ça peut véritablement changer votre vie.

Pour ne pas vous sentir agressé par les paroles ou les comportements malveillants de quelqu’un, considérez chacun de ses actes comme l’expression d’une souffrance chez lui. Vous comprenez qu’une personne qui vous dit « t’es moche » doit forcément avoir un complexe et chercher à se valoriser d’une autre façon. Et comme nous sommes le miroir de l’autre, inconsciemment il va déceler chez vous ce qui le fait lui-même souffrir. Si vous arrivez à décrypter ces comportements, vous pourrez développer de l’empathie pour cette personne. Comme en parle Laurent Gounelle dans son livre « L’homme qui voulait être heureux » à propos de quelqu’un qui se demande comment avoir des sentiments positifs pour des personnes qui nous agressent : « c’est plus facile si vous savez qu’un autre point commun entre tous ces gens est qu’il y a néanmoins une intention positive derrière chacun de leurs actes. Ils croient que ce qu’ils font est la meilleure chose à faire, voir la seule possible. C’est pour cela que, même si ce qu’ils font est critiquable, ce qui motive leurs comportements est souvent compréhensible. Pour pouvoir aimer une telle personne, distinguée la de ces actes, dites vous que malgré son attitude détestable, il y a quelque part au fond d’elle, peut être très enfoui et sans qu’elle le sache elle-même, quelque chose de bien. Si vous parvenez à percevoir ce quelque chose et que vous l’aimez, vous amènerez cette personne à rentrer en contact avec cette petite part d’elle-même. »

Vos croyances ont aussi une part importante dans le comportement des autres et dans votre réaction. Par exemple, la beauté malgré toutes les normes sociales, reste quelque chose de très subjectif, qui est largement influencée par notre attitude. Imaginez que vous vous trouvez moche. Vous allez vous exprimer, vous tenir, vous mouvoir, vous comporter comme quelqu’un qui est persuadé d’être moche. Donc vous ne serez pas éloquent, vous allez vous renfermer, vous n’allez pas sourire, vous aurez du mal à regarder dans les yeux, etc. Du coup, les personnes en face de vous vont vous percevoir de cette manière et se comporter en conséquence. Si vous abordez quelqu’un en étant persuadé de ne pas être « assez bien » pour elle, forcément elle va le ressentir. Finalement, vos croyances vont façonner votre réalité et la réaction des autres va vous conforter dans vos croyances. C’est un cercle vicieux.

Donc ce que vous dise les autres est simplement une projection de leurs réalités influencées par leurs croyances et les votre. Si vous étiez persuadé d’être beau ou belle, alors cette personne n’aurait peut-être pas fait cette remarque ou ça vous aurait fait sourire. Si vous vous sentez blessé, c’est que quelque part, une partie de vous est d’accord. C’est une information que vous devez utiliser pour votre introspection.

On va me dire « oui mais concrètement je suis vraiment moche parce que j’ai x caractéristiques physiques désavantageuses ». C’est très superficiel de se juger comme ça mais je peux comprendre. Dans tous les cas, je peux vous garantir que, peu importe votre physique, si vous pensez et agissez comme quelqu’un qui est persuadé d’être beau ou belle (sans être arrogant non plus), vous allez forcément constater une énorme différence dans votre vie.

Donc ne prenez rien personnellement, puisque la réalité est relative à chacun et faites attentions à vos croyances.

PAS DE SUPPOSITION

Le troisième accord est « Ne faites pas de suppositions ». J’en ai déjà un peu parlé dans la vidéo précédente dans la partie « Ne pas interpréter ».

Nous n’aimons pas l’incertitude et quand il nous manque des informations, notre cerveau cherche inévitablement à combler les trous en se basant sur ce qu’il croit savoir. Donc votre interprétation sera toujours limitée par vos connaissances, vos expériences et vos croyances. Et même si vous êtes très doué pour comprendre les autres, tout ce que vous allez imaginer sera faussé.

Nous avons à priori des dizaines de millier de pensée par jour. Une grande partie d’entre elles sont des suppositions, des interprétations de ce que nous vivons. Le simple fait de croiser quelqu’un dans la rue peut vous amener à imaginer où elle va, qu’est-ce qu’elle est en train de faire ou pourquoi elle a une tâche sur son pantalon.

Vous ne pouvez pas vous empêcher de penser et c’est inutile. Mais si vous accordez de l’attention à ces pensées et que vous traitez ces informations, vous allez en permanence déformer votre réalité et vous serez prisonnier de votre mental. Le jour où quand vous rencontrez quelqu’un, vous arrivez à voir et entendre simplement cette personne, sans y ajouter de sens, vous allez vous décharger d’une charge mentale énorme. Ne pensez pas que beaucoup réfléchir soit un signe d’intelligence.

Personnellement, comme tout le monde, instinctivement je fais beaucoup de supposition, mais j’essaye de ne pas y accorder d’attention. En gros je fais la distinction entre les pensées et leurs validations, qui entraîne ou non des actions, donc un comportement. De base je pense que le lien entre les deux se fait automatiquement. Vous allez donc vous laissez guider par vos pensées dont la plupart seront influencées par vos peurs.

Tout le travail du développement personnel est d’augmenter son niveau de conscience, de débrancher ce lien automatique entre les pensées et leurs validations, et de choisir consciemment quand c’est possible, une par une, chaque pensée.

De cette manière, vous pouvez vous empêcher de faire des suppositions. Vous allez y penser mais vous n’allez pas les valider. Vous décidez à la place de vous fier aux informations factuelles que vous avez et de communiquer clairement avec les autres pour leur demander celles qui vous manquent.

FAIRE DE SON MIEUX

Le quatrième accord est « Faites toujours de votre mieux ». Vous ne pouvez pas culpabiliser ou vous reprocher de mal faire quelque chose à partir du moment où vous faites de votre mieux. Quoi que vous pensiez ou que les autres vous disent, si vous faites sincèrement de votre mieux, c’est suffisant.

Et votre mieux n’est pas le même suivant le jour ou les circonstances. Parfois pour une même situation, d’un jour à l’autre vous n’allez pas réagir de la même manière. Mais même si vous sentez que vous êtes dans un mauvais jour, n’abandonnez pas pour autant. Ne vous empêchez pas de faire des efforts parce que vous pensez que ça ne sera pas à la hauteur de vos attentes ou celles des autres. C’est comme si vous aviez prévu d’aller courir 10 km mais que le moment venu vous n’avez pas la motivation. Si vous allez marcher 30 min, c’est mieux que rien.

Ensuite, faire de son mieux n’est pas comparable d’une personne à une autre et vous ne pouvez pas dire à quelqu’un « si j’étais à ta place, je n’aurai pas fait comme ça, j’aurai fait ci ou ça et ça aurait été mieux ! ». Car en fait (et c’est un sujet en rapport avec le libre arbitre dont je parlerai dans une autre vidéo), si vous étiez à la place de cette personne, avec les mêmes parents, les mêmes gênes, dans le même environnement, alors vous auriez le même vécu et vous auriez donc fait les mêmes choix.

Partant de ce constat, la seule chose que vous pouvez faire est d’augmenter votre niveau de conscience pour avoir plus de possibilité de choix et continuer de faire de votre mieux. Mais vous ne devez pas culpabiliser de vos choix ou vos réactions. Vous en êtes responsable, dans la limite des possibilités qui s’offrent à vous et qui sont déterminés par vos gênes et votre vécu.

EXERCICE PRATIQUE

Je vais vous illustrer l’utilisation de ces accords avec un exemple concret que j’ai vécu l’année dernière. J’aime développer des relations de confiance, basée sur une bonne communication où chacun reste très libre et indépendant. Je fais également toujours très attention à ne pas développer d’attentes, ce qui me permet de ne pas être frustré même si quelqu’un annule un RDV par exemple.

Ça marche très bien mais ce n’est pas infaillible puisqu’il m’arrive de développer des attentes sans m’en rendre compte. C’est ce qui s’est passé avec une femme pour qui j’ai des sentiments et que je vois quelques fois par an. Nous avions prévu de nous retrouver après quelques mois à distance mais elle a annulé la veille de notre RDV. Elle me l’a annoncé très naturellement comme si ça n’avait pas d’importance et j’ai été blessé dans mon ego.

A cet instant précis, j’ai pris conscience de ma réaction émotionnelle. Et ça c’est super important ! Si vous arrivez à développer une sorte d’alerte mentale qui vous avertit à chaque fois que ça se produit, ça vous permet de gérer cette situation consciemment et d’appliquer la ligne de conduite correspondant à la personne que vous voulez être. En l’occurrence, si vous arrivez à appliquer les accords toltèques, vous allez nettement améliorer la gestion de cette réaction. J’ai également décidé de vivre ça comme un exercice pratique et de noter tout ce qui me passait par la tête pour l’étudier plus tard.

Donc je reçois son message qui attend une réponse mais instinctivement je n’ai que des pensées négatives. Comme je veux essayer d’avoir une parole impeccable, je ne réponds pas tout de suite, pour prendre le temps de gérer mes émotions et réfléchir à ce que je vais dire. Je dois à tout prix ne pas me victimiser et ne pas laisser parler mon ego.

Je sais également que je ne dois pas le prendre personnellement car je sais très bien l’amour qu’elle ressent pour moi. Mais à ce moment-là, mon ego est comme une personne à part entière, qui réfléchit et qui essaye de m’influencer. Voilà ce qu’il se dit. Elle lui a donné ses raisons mais il ne les accepte pas. Il considère qu’elle fait passer en priorité des choses qui ne le sont pas pour lui. Donc en gros, mon ego pense que si la situation était inversée, il n’aurait pas annulé, ce qui voudrait dire qu’elle lui accorde moins d’importance. Influencé par mon ego, je commence à faire des suppositions basées sur des peurs, du genre « mais en fait elle s’en fout de moi ! ».

A côté de ça, j’ai un autre bonhomme, une sorte de petit bouddha, qui se met à sa place et qui comprend ses raisons. Donc je rejette chacune de ces pensées en m’interdisant de l’accuser de quoi que soit. Je ne fais non plus l’erreur inverse, de faire des suppositions qui correspondent à ce que j’aimerai. C’est-à-dire que je dois simplement rester neutre car si je me rassure avec une supposition positive, je peux développer des attentes par rapport à ça et être déçu si ça ne correspond pas.

Donc je n’ai toujours rien écrit et rapidement cette personne culpabilise de mon absence de réponse. Je suis alors obligé de lui répondre précipitamment. J’arrive à envoyer un message compréhensif mais j’exprime mon étonnement. Donc ma parole n’est pas impeccable mais j’ai fait de mon mieux.

Cet étonnement a suffi pour attiser sa culpabilité et déclencher une réaction émotionnelle. Elle a alors ressenti le besoin de se justifier. Par expérience, j’ai tout de suite senti le truc venir et je l’ai rassurée sur le fait qu’elle n’a pas à se justifier de ces choix ou culpabiliser, c’est à moi de gérer mes émotions.

Malgré tout, elle a continué à m’envoyer des messages exprimant sa culpabilité mais je n’avais pas envie de répondre et je suis parti me coucher. Dans mes notes, j’ai écrit que j’avais envie de lui en vouloir, de bouder, de ne pas faire l’effort de régler la situation. Une fois dans mon lit, en réfléchissant, j’ai réalisé que mon absence de réponse n’était pas anodin. Inconsciemment, c’était en fait mon ego blessé qui voulait se venger, donc la faire souffrir en la laissant mariner dans sa culpabilité. Quand j’ai réalisé ça, j’ai laissé mon petit bouddha lui envoyer un message d’amour pour la rassurer. Ça peut paraître pas grand-chose, mais par rapport à ce que je ressentais, ça m’a demandé un effort énorme. En fait ce message n’était pas hypocrite, c’est juste qu’une partie de moi le pensait sincèrement, et l’autre partie (mon ego) me détestait d’avoir fait ça. Pour lui, qui se considère comme victime et pas respecté, c’était comme plaider coupable pour un crime qu’il n’a pas commis. Il avait l’occasion de se faire justice mais à la place, il avait l’impression d’aider son agresseur.

Bien sûr comme tout le monde j’ai honte d’avoir ses pensées. Mais je pense qu’en avoir conscience et les assumer est le meilleur moyen de ne pas se laisser influencer. Car vous n’êtes pas définit par vos pensées. Mais vous décidez de celles que vous allez valider et transformer en croyances ou en comportements. Donc vous pouvez très bien avoir beaucoup de pensées de peur que vous n’écoutez pas et agir avec amour. Comme en parle le Dr. Joe Dispenza, contrairement à ce que l’on pourrait croire, ce sont d’abord nos comportements qui induisent ensuite l’évolution de nos pensées.

Le lendemain matin ma réaction émotionnelle était fini (elle a duré moins de 24h) et j’avais retrouvé ma sérénité. Je ne me sentais plus vexé ou blessé. Je savais que j’avais fait de mon mieux et j’avais le sentiment très agréable d’avoir fait les bons choix. Si j’avais d’avantage écouté mon ego, je serais très probablement rentré dans un cercle vicieux qui aurait pu durer très longtemps. On a toujours le choix entre une réaction de peur ou d’amour. Même si c’est parfois viscérale et difficile à contrôler, si nous arrivons à maîtriser notre ego et notre orgueil, nous empêchons les réactions de peurs qui n’apportent rien de bon, à personne.

Je n’étais donc plus frustré, triste ou vexé de ne pas passer cette soirée avec cette femme et je revenais au moment présent. Ça ne veut pas dire que le problème était réglé de son côté puisque sa réaction émotionnelle a duré encore quelque temps. Mais nous ne sommes pas responsables des émotions et des réactions des autres, la seule chose que je pouvais faire c’était la rassurer et lui confirmer que tout aller bien pour moi.

CONCLUSION

Je suis convaincu que si vous faites attention à appliquer ces 4 accords autant que possible vous allez constater une nette amélioration dans votre comportement et vos relations. Le but n’est pas de devenir du jour au lendemain quelqu’un de communiquant, d’éveillé, bienveillant et patient mais simplement de commencer par faire de son mieux.


Publié par Romain

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2 commentaires sur “COMMUNICATION RELATION | Les 4 accords Toltèques en pratique

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  1. Les «accords» eux mêmes semblent généralement bien, mais considérant l’origine pas-vraiment-toltèque des accords, ils ne méritent peutêtre pas la révérence qui leur est souvent accordée. Personnellement, je trouve que le second et le troisième sont particulièrement problématiques, parce que j’ai l’impression qu’ils ont le potentiel de guider la pensée à l’encontre de la réalité. J’explique: des suppositions serons toujours à la base de n’importe lesquels de nos raisonnements, à cause de limitations assez fondamentales à ce qu’on peut savoir. C’est impossible de les éviter, et il vaut mieux l’accepter et en être conscient, mais de prétendre pouvoir éviter toute supposition peut facilement mener à des croyances fondamentalistes. Ensuite, de temps en temps, il y a des choses. qui devraient être prises personnellement. Si quelqu’un d’autre exprime du mécontentement, de la colère, ou du bonheur (ou n’importe quelle émotion) directement envers nous, pour quelque chose qu’on a fait ou qu’on est, j’ai l’impression que ce serait de se déresponsabiliser que de ne pas le prendre personnellement.

    1. Bonjour Émile, je comprends ce que vous voulez dire mais nous n’avons pas la même interprétation.
      Quand vous dites “à l’encontre de la réalité” par exemple. La réalité n’est pas quelque chose d’absolue, elle est subjective car nous construisons notre propre réalité par rapport à nos croyances. Effectivement instinctivement nous allons faire des suppositions mais comme vous dites en étant conscient de celles-ci nous ne sommes pas obligés de leur donner une valeur. Il est tout à fait naturel et même très sain, quand on ne comprend pas quelque chose de dire “je ne sais pas”. De rester dans cette ignorance ou de poser la question à la bonne personne. Ainsi vous éviterez de déformer les intentions et les comportements des autres.
      Ensuite pour le “ne rien prendre personnellement” je persiste à penser que c’est très important. “Si quelqu’un d’autre exprime du mécontentement, de la colère, du bonheur (ou n’importe quelle émotion) directement envers nous” ça le concerne uniquement. Car ce même comportement que vous avez eu ne va pas du tout avoir les mêmes effets selon les personnes. Si mon fils fait un acrobatie sur le lit, peut être que je vais l’applaudir et que sa maman va le gronder du risque qu’il a pris. Aucun de nous deux n’a raison ou n’a tort, on ne perçoit simplement pas les choses de la même manière. Il est impossible pour mon fils ou n’importe qui d’autre dans sa vie, de prendre la responsabilité des réactions des autres. Je pense que nous devons chacun en être responsable.

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